Nigeria LNG présente ses installations de liquéfaction de gaz naturel à des diplomates occidentaux




Les ambassadeurs de Turquie et du Portugal ainsi que le Haut-Commissaire de Grande-Bretagne ont pris part, le 04 septembre, à un programme de promotion organisé par la société NLNG à Bonny Island

 

La société Nigeria LNG (NLNG) a organisé mardi, 04 septembre, une visite des principales installations de liquéfaction de gaz naturel du Nigeria, sur l’île de Bonny Island – environ 40 km au sud de Port Harcourt, dans l’État nigérian de Rivers, au sud du pays.

Des diplomates occidentaux accrédités au Nigeria ont pris part à cette visite, à l’instar de l’ambassadeur de Turquie, Melih Ulueren (photo, 1er à partir de la gauche); l’ambassadeur du Portugal, António Pedro da Vinha Rodrigues da Silva (photo, 2e à partir de la gauche); le Haut-Commissaire de Grande-Bretagne, Paul Arkwright (photo, 4e à partir de la gauche).

Le directeur général de NLNG, Tony Attah (photo, 3e au centre), et le DGA de la société, Sadeeq Mai-Bornu (photo, d) ont présenté aux diplomates l’usine de Bonny Island, qui dispose d’installations de liquéfaction de gaz naturel. Le Nigeria occupe, sur le plan mondial, la quatrième place dans le classement des plus grands exportateurs de gaz naturel liquéfié (GNL).

Créée en 1989 pour exploiter les ressources gazières du Nigéria (réserves prouvées de gaz les plus importantes de l’Afrique, estimées à 5 627 milliards de m3 à fin 2017), la société NLNG appartient à quatre entités: le gouvernement fédéral du Nigeria, représenté par la Compagnie nationale nigériane de pétrole NNPC (49%), la compagnie pétrolière anglo-néerlandaise Shell (25,6%); Total Gaz Electricité Holdings France (15%) et la compagnie pétrolière italienne Eni (10,4%).

L’usine de Bonny Island a une capacité de production de 22 millions de tonnes par an (Mtpa) de GNL et 05 Mtpa de gaz de pétrole liquéfié (encore appelé “gaz domestique”) et de condensats de gaz naturel. Un septième train de liquéfaction de gaz naturel en projet devrait permettre de porter la capacité de production du site de 22 à 30 millions de tonnes de gaz naturel liquéfié par an.

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