Masen, la Banque de développement de Zambie et la Banque de développement des infrastructures du Zimbabwe figurent parmi les nouvelles institutions qui pourront soumettre des demandes de financement de projet au FVC
Le conseil d’administration du Fonds vert pour le climat (Green Climate Fund en anglais, GCF), qui a achevé sa 29e session le 01er juillet, a approuvé les demandes d’accréditation de 10 nouvelles institutions dont trois africaines: l’Agence marocaine pour l’énergie durable (Masen), la Banque de développement de Zambie (Development Bank of Zambia, DBZ) et la Banque de développement des infrastructures du Zimbabwe (Infrastructure Development Bank of Zimbabwe, IDBZ).
Lancé fin 2011, le Fonds vert pour le climat (FVC) est le mécanisme financier de la Convention-cadre des Nations Unies sur les changements climatiques (CCNUCC) qui réunit 194 gouvernements. Selon ses missions officielles, le Fonds a pour objectifs “de limiter ou de réduire les émissions de gaz à effet de serre dans les pays en développement et d’aider les communautés vulnérables à s’adapter aux impacts déjà ressentis des changements climatiques”. Il finance, entre autres, des projets d’énergie à faibles émissions de carbone.
Pour pouvoir soumettre des projets pour financement au FVC, les organisations intéressées (structures privées, publiques, internationales, ONG) font une demande d’accréditation, processus au cours duquel le FVC vérifie si le demandeur partage ses objectifs et standards institutionnels.
