Le drame est survenu après l’effondrement d’une structure le 15 janvier
Deux personnes sont mortes après l’effondrement d’une structure samedi, 15 janvier, sur le chantier de démantèlement de l’ancienne mine d’uranium de Cominak, au Niger, exploitée jusqu’à l’an dernier par le groupe français Orano (ex-Areva), a annoncé la société nigérienne.
La mine d’Akouta a été mise à l’arrêt le 31 mars 2021 pour cause d’épuisement du gisement, en conformité avec une décision du conseil d’administration de la Cominac prise le 23 octobre 2019.
Pendant ses années d’exploitation (plus de 40 ans), la mine a permis l’extraction de 75 000 tonnes d’uranium, d’après les chiffres publics d’Orano.
Orano détient une part majoritaire de 59% dans la Compagnie minière d’Akouta (Cominak), le reste du capital étant partagé entre la Société de patrimoine des mines du Niger (Sopamin, 31%) et l’entreprise publique espagnole Enusa (10%).
