Selon le Forum des pays exportateurs de gaz, ses 11 membres – Qatar, Russie, Iran, Algérie, Bolivie, Egypte, Guinée équatoriale, Libye, Nigeria, Trinité-et-Tobago et Venezuela – et sept pays associés représentent 70% des réserves prouvées de gaz et 51% des exportations mondiales de gaz naturel liquéfié
Les présidents, Premiers ministres ou ministres des 11 pays membres du Forum des pays exportateurs de gaz (Gas Exporting Countries Forum, GECF) se sont réunis à Doha du 20 au 22 février pour le sixième sommet de l’organisation.
Selon le Forum, ses 11 membres – Qatar, Russie, Iran, Algérie, Bolivie, Egypte, Guinée équatoriale, Libye, Nigeria, Trinité-et-Tobago et Venezuela – et sept pays associés (Angola, Irak, Norvège, Emirats arabes unis, Azerbaïdjan, Malaisie, Pérou) représentent 70% des réserves prouvées de gaz et 51% des exportations mondiales de gaz naturel liquéfié.
Les Etats-Unis et l’Australie, deux autres grands exportateurs, ne font pas partie du Forum.
« Nous apprécions les efforts de tous les membres (du FPEG) qui ont travaillé dur pour assurer un approvisionnement crédible et fiable en gaz naturel au marché mondial et pour préserver la stabilité de ces marchés », a déclaré l’émir du Qatar cheikh Tamim ben Hamad Al-Thani devant les participants.
« Prédire ce que les prix seront (demain, NDLR) s’ils vont monter ou baisser, ça c’est entre les mains de Dieu », a affirmé le ministre qatari de l’Energie Saad Cherida al-Kaabi. Pour ce responsable, l’envolée des prix du gaz est « fondamentalement liée au manque d’investissements » et combler ce retard « va prendre du temps », a-t-il estimé.
