Afrique de l’Est/Géothermie: le 7e cycle des demandes de subventions de la GRMF programmé en juin 2021




Actuellement, les coordonnateurs de la Facilité d’atténuation des risques géothermiques en Afrique de l’Est examinent les candidatures complètes des projets soumis par les développeurs retenus lors du sixième cycle

 

 

Après avoir bouclé les candidatures de préqualification au sixième cycle des demandes de subventions – candidatures examinées début février -, la Facilité d’atténuation des risques géothermiques en Afrique de l’Est (Geothermal Risk Mitigation Facility for Eastern Africa en anglais, GRMF) prépare le lancement du septième cycle, prévu en juin 2021.

Pour la phase de préqualification du sixième cycle, l’Unité de coordination géothermique régionale (Regional Geothermal Coordination Unit en anglais, RGCU) de la Commission de l’Union africaine a officiellement reçu 18 manifestations d’intérêt, parmi lesquelles sept ont été retenues pour soumettre des offres complètes pour 10 projets (sept programmes de forage de puits et 10 études de surface).

L’évaluation des candidatures complètes est en cours actuellement, selon les informations disponibles au 06 mars.

La GRMF est un instrument financier destiné à soutenir le développement de l’énergie géothermique pour la production d’électricité en Afrique de l’Est. La sous-région dispose, selon l’UA, d’un potentiel de production de 22 000 MW d’électricité à partir de la géothermie.

L’objectif du dispositif est d’encourager les investisseurs publics et privés ainsi que les partenariats public-privé dans des projets de géothermie, en accordant des subventions pour deux types d’activités: des études de surface pour déterminer l’emplacement optimal des puits d’exploration; le forage des puits d’exploration et tests du réservoir, ainsi que les infrastructures physiques (électricité, eau et route d’accès) associées aux deux activités.

La Facilité a été créée en 2012 par la Commission de l’Union africaine (CUA), le ministère fédéral allemand de la Coopération économique et du Développement (BMZ) et le Fonds fiduciaire UE-Afrique pour les infrastructures (ITF) via la banque de développement allemande KfW.

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *